César • Marcel Pagnol

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Éditions de Fallois, 2022 (185 pages)

Ma note : 15/20

Quatrième de couverture …

Vingt ans ont passé. Marius est devenu garagiste à Toulon, Fanny est la riche madame Panisse, et César le parrain de Césariot, le fils de Fanny, élève à Polytechnique. Lorsque Panisse meurt, il veut que le jeune homme apprenne qu’il n’était pas son véritable père…
En 1936, Pagnol décide de conclure l’histoire de ses héros marseillais. Il est maintenant cinéaste, et c’est directement pour l’écran qu’il écrit César, dont il publie cependant le texte. Il démontre avec maestria que, pour lui, théâtre et cinéma ne sont pas fondamentalement différents : l’important, ce sont l’auteur, ses personnages, et les mots qu’ils prononcent. 
Raimu, Charpin, Fresnay, Orane Demazis, artificiellement vieillis, retrouvent leur rôle dans ce film mélancolique : le Vingt ans après de Pagnol. Lire la suite « César • Marcel Pagnol »

Fanny • Marcel Pagnol

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Éditions de Fallois, 2022 (185 pages)

Ma note : 16/20

Quatrième de couverture …

Depuis le départ de Marius, César est de plus en plus coléreux, et ses amis en font les frais. Lorsque Fanny apprend qu’elle attend un enfant de Marius, le déshonneur la guette…

Deux ans après Marius, Marcel Pagnol reprend dans Fanny (1931) ses personnages où il les a laissés. Les spectateurs du Théâtre de Paris retrouvent avec enthousiasme Fanny, César, Panisse, Escartefigue, monsieur Brun, Honorine. 
Orane Demazis et Charpin sont au rendez-vous, mais pas Raimu, fâché avec le directeur de la salle, et remplacé par Harry Baur. 
En 1932, Marc Allégret tourne Fanny, et Raimu reprend le rôle que Pagnol a écrit pour lui. Le succès du film Fanny est aussi grand que celui de Marius. Des années trente aux années soixante, plusieurs remakes en sont réalisés. Wallace Beery, Emil Janings, Charles Boyer ont interprété César. Maurice Chevalier, lui, a été, en 1961, un Panisse hollywoodien. Lire la suite « Fanny • Marcel Pagnol »

Marius • Marcel Pagnol

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Éditions de Fallois, 2022 (186 pages)

Ma note : 16/20

Quatrième de couverture …

Le port de Marseille, dans les années vingt. Marius, le fils de César, patron du bar de la Marine, est partagé entre son amour pour Fanny, la petite marchande de coquillages, et son désir de prendre la mer, de parcourir le monde…
Lorsque Pagnol, en 1929, fait représenter Marius sur une scène parisienne, sans doute ne se doute-t-il pas que ses personnages deviendront aussi célèbres qu’Harpagon ou monsieur Jourdain. 
Deux ans plus tard, Pagnol et Alexander Korda en tirent un film. Raimu, Charpin, Orane Demazis, Pierre Fresnay reprennent leurs rôles, et la pellicule les immortalise. Ils feront le tour de la terre… Lire la suite « Marius • Marcel Pagnol »

Les précieuses ridicules • Molière

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Éditions Pocket, 2018 (61 pages)

Ma note : 14/20

Quatrième de couverture …

En novembre 1659, l’énorme succès des Précieuses ridicules surprend Molière. Le public plébiscite son génie comique. Il découvre alors que son théâtre dispose d’une matière inépuisable : la satire des mœurs de l’époque, ses excès, ses vices, ses ridicules – qui sont d’ailleurs intemporels. Mais il ne sait pas encore que les manières prétentieuses de Cathos et Magdelon, ces deux êtres dévorés de snobisme et de mondanité, ne quitteront jamais le répertoire. La farce joue aujourd’hui encore de ses stratagèmes et de ses déguisements, et s’incarne dans des gens que l’on croise tous les jours. Lire la suite « Les précieuses ridicules • Molière »

On ne badine pas avec l’amour • Alfred de Musset

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Éditions Le livre de poche, 2004 (128 pages)

Ma note : 13/20

Quatrième de couverture …

Perdican revient au village de son enfance où il doit épouser sa cousine Camille, mais la jeune fille, tout juste sortie du couvent, est prévenue contre l’amour, par avance convaincue de la désillusion qu’elle encourt. Par dépit, Perdican séduit alors Rosette, une petite paysanne, et dans un décor de fraîcheur bucolique, c’est une fin tragique qui s’annonce.
Camille et Perdican partagent sans doute la même religion de l’amour idéal, mais mêlée de véhémence chez l’une et de rouerie chez l’autre, et derrière le rêve d’un retour à l’innocence première se dessine un enfer, inscrit depuis toujours dans la nature humaine. Le temps paradisiaque d’on ne badine pas avec l’amour, faut-il alors le voir comme une immobilité bienheureuse ou la préparation de la Chute ? C’est là toute l’incertitude de la pièce qui n’oublie pas, en 1834, la liaison de Musset avec George Sand, dont Perdican répète mot pour mot les paroles : « J’ai souffert souvent, je me suis trompé quelquefois, mais j’ai aimé. C’est moi qui ai vécu et non pas un être factice crée par mon orgueil et mon ennui. » Lire la suite « On ne badine pas avec l’amour • Alfred de Musset »

La cantatrice chauve, suivi de La leçon • Eugène Ionesco

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Éditions Folio, 2013 (190 pages)

Ma note : 08/20

Quatrième de couverture …

Mme SMITH : Tiens, il est neuf heures. Nous avons mangé de la soupe, du poisson, des pommes de terre au lard, de la salade anglaise. Les enfants ont bu de l’eau anglaise. Nous avons bien mangé, ce soir. C’est parce que nous habitons dans les environs de Londres et que notre nom est Smith… Lire la suite « La cantatrice chauve, suivi de La leçon • Eugène Ionesco »

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